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La pyramide alimentaire – version 2020

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L’utilisation de la Pyramide Alimentaire constitue un modèle largement utilisé parmi les professionnels de la santé. Le principe fondamental de la pyramide vise à hiérarchiser de manière quantitative le poids relatif des différentes catégories alimentaires d’une façon visuelle facile à comprendre et à retenir.

La pyramide alimentaire

Il convient de rappeler que la Pyramide alimentaire de 2020 constitue principalement un outil pédagogique destiné aux adultes. Elle n’a pas été élaborée spécifiquement pour les enfants, bien qu’elle puisse servir de support visuel. Dans ce contexte, les diététiciens jouent un rôle essentiel en étant en première ligne pour aider chacun à interpréter correctement ce modèle nutritionnel.

La Pyramide alimentaire a subi des évolutions, de la base au sommet, avec les modifications suivantes :

1. Eau et boissons non sucrées : Remplacement de la bouteille en plastique par une gourde pour des raisons de durabilité.

2. Fruits : Changement du message à « 250 g par jour », remplaçant la consigne de 2 fruits par jour. La banane a été remplacée par une tranche de melon pour la durabilité.

3. Légumes : Le message devient « min. 300 g par jour », et l’avocat est retiré pour des raisons de durabilité. Les légumes, agrandis par rapport aux fruits, sont déplacés à gauche pour une meilleure lisibilité.

4. Féculents : Intégration des céréales complètes conformément aux recommandations (au moins 125 g par jour). Les céréales complètes sont mises en évidence graphiquement. L’épi de blé est remplacé par des grains de céréales.

5. VVPOLAV (Viande, Poisson, Produits laitiers, Œufs, Légumineuses, Alternatives végétales) : Les viandes transformées sont déplacées vers la pointe, limitées à 30 g par semaine. Le message devient plus précis, aligné sur les recommandations du CSS.

6. Produits laitiers et alternatives végétales enrichies en calcium : Un message spécifique est attribué aux produits laitiers (250 à 500 g par jour). L’équivalence laitière est introduite pour éviter les malentendus, surtout avec les fromages.

7. Matières grasses ajoutées et oléagineux : Séparation en deux familles distinctes, avec des messages directs : « modérément, et varier les sources ». Les emballages en plastique sont remplacés par du papier et du verre.

8. Pointe : Détachée de l’ensemble pour marquer la différence, elle regroupe les « Non-indispensables », évitant la couleur rouge pour ne pas être perçue comme restrictive. Elle inclut les viandes transformées et une tranche de salami, avec l’ajout d’une salière pour sensibiliser sur le sel ajouté.

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